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Littérature

L’écriture de Queloz se distingue par l’envie naturelle de digressions grivoises, en apparence libre mais, dans l’ombre, tenues par la structure ferme de l’écrivain.

Vertigo-RSR1 - 21.05.2019 - avec

Christine Gonzales et Pierre-Philippe Cadert

vertigo
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Entre les lignes-RSR2 - 09.05.2013 - avec

Catherine Fattebert et Jean-Marie Félixe

Lecture : Mathias Glayre

Entre-les-lignes
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Polaroïd

2008

200 pages

14 x 20 cm

CHF 30 / EUR 20

Polaroïd

Pierre Queloz

 

Polaroïd met en scène un couple d’enquêteurs, Aglio et Olio, qui voient leurs pérégrinations à travers le Jura, le sud de la France, la Tunisie et l’Italie ponctuées de meurtres sordides et spectaculaires. Quelques indices étranges, que seuls Aglio et Olio savent voir, font le lien entre les différents meurtres, comme cet ide qu’on trouve dans les poumons d’une belle noyée retrouvée au large du port de Menton, et ce au moment où on s’apprête à célébrer l’anniversaire de la mort de César. Et puis, il y a ce mystérieux individu, aux chaussures en croco, qu’on aperçoit toujours sur les lieux du crime…

L’écriture de Queloz se distingue par l’envie naturelle de digressions grivoises, en apparence libre mais, dans l’ombre, tenues par la structure ferme de l’écrivain.

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Voilà voilà

Pierre Queloz
 

Tout commence au Vatican où, sous les yeux effarés d’une statue de Néron, on tente d’éliminer un garde suisse. Celui-ci s’en sort mais des ombres menaçantes et mystérieuses traversent l’univers fou de Queloz, d’Italie en Egypte en passant par le paradis, n’empêchant pas satyres, faunes, mamelouks, espions et touristes du Gros-de-Vaud de céder dans la joie aux vins et au sexe car, en attendant la mort qui peut frapper n’importe quand, autant profiter de la vie.

Queloz est un peintre pour qui l’écriture est un jeu ; l’intrigue de Voilà Voilà, soumise aux contraintes de l'alexandrin, semble un temps échapper à l’auteur avant qu'il retombe sur ses pattes à coup d’artifices jubilatoires, ayant pris soin de ponctuer son roman d’un acronyme cryptique – FDBR – qui maintient l’intelligence des différents protagonistes en éveil jusqu’à l’explication finale.

Voilà Voilà

Avril 2013

260 pages

14.5x18.5 cm

CHF 30/EUR 19

isbn : 978-2-940522-05-7

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Comme les rêves sont réels

Pierre Queloz

 

En 2008 aux éditions Castagniééé et en 2012 chez Hélice Hélas, Pierre Queloz a publié deux polars en alexandrins, Polaroïd et Voilà voilà. Que ce soit dans sa peinture ou ses écrits, Queloz ne se départit jamais d’une poésie grivoise ; c’est un bon épicurien qui sait que seules les choses légères sont sérieuses.
 

Mais Queloz a d’autres cordes à son arc : il est aussi musicien. Dans la filiation de Brassens, il compose depuis longtemps des chansons qu’il joue pour la plus grande joie de ses hôtes fréquents.


Sous l’impulsion d’acteurs divers et motivés, entouré de musiciens professionnels réputés, Queloz a enregistré douze compositions. Le résultat, sous forme de CD, porte le nom de sa première chanson, Quand les rêves sont réels. Le CD est accompagné d'un livre éponyme qui contient les paroles de ses chansons et des dessins de l'auteur.

CHANSONS (CD & livret illustré) 

Mai 2014

50 pages

14.8 x 21 cm

CHF 30 / EUR 20

isbn : 978-2-940522-16-3

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On voit de tout aujourd'hui

Octobre 2021

300 pages

14.5 x 18.5 cm

CHF 28 / EUR 20

isbn : 978-2-940700-09-7

On voit de tout aujourd'hui

Pierre Queloz

 

Après Polaröïd et Voilà voilà, Pierre Queloz convoque ses inspecteurs poétiques favoris, Aglio, Olio et Pepperoncino dans une enquête qui les transportera dans les méandres de la mythologie greco-romano-chrétienne, entre dieux, chimères et artistes-peintres consacrés.
 

Tout part, sur un bateau de croisière, des remous que génère une femme aux contours généreux (on pense à quelque actrice italienne de la grande époque), suivent une série de morts, l’évocation des enfers, de Hadès à Dante, et autres descentes chthoniennes et d’alcool — de bons vins de préférence.
 

On retrouve dans On voit de tout aujourd’hui toute la verve rabelaisienne et les références aux cultures classiques de l’auteur, mises en récit dans la forme qui oriente ses pensées et ses digressions: l’alexandrin.
 

Préface de Stéphane Bovon.

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